Chambre 77

elle sort du taxi , tire sur le bas de sa petite robe , pour ne pas laisser apparaître le haut de ses dim-up .
elle est face à cet hôtel , elle vérifie le sms qu’elle a reçu , mémorise le code envoyé
il y a plusieurs voitures sur le parking , laquelle est la sienne? elle en sait rien
elle pianote le code qui lui ouvre la porte , chambre77 : 4eme étage
elle hésite entre les escaliers et l’ascenseur , elle est en talons , mais veut retarder encore ce moment, cette rencontre
elle franchit les marches , ne croise personne , le silence est lourd , que le bruit de ses talons
4eme étage : un couloir , vide , la chambre 77 est juste au bout, plus que quelques mètres

quelques mètres … elle hésite à repartir en courant , à fuir , mais non
la voici devant la porte . encore un code à tapoter

elle ouvre la porte , jolie chambre , bien éclairée , aux décors pastels , limites tendres, plutôt paradoxal vu ce qu’ils ont prévu

il est là , prés de la fenêtre .. il l’attendait , le sourire aux lèvres
-bonjour, toi

elle murmure un bonjour , qui franchit à peine sa bouche , à peine audible

il s’avance , elle plonge ses yeux dans les siens , ses yeux bleus délavés , ses yeux de coquine comme il aime lui répéter

la main de l’homme se pose sur sa joue , la caresse , ses lèvres viennent se coller aux siennes, sa langue pénètre en douceur , cherche la sienne , un baiser d’une rare douceur .

il relâche son étreinte et passe derrière elle , sans un mot il descend la fermeture éclair de sa robe , laissant apparaître une lingerie noire en dentelle , un string si petit qu’il cache vraiment rien du tout , un soutien gorge de dentelle où on peut apercevoir ses tétons déjà tendus , et ses dim-up , finalement une lingerie des plus classiques

il prend ses deux mains , sors les menottes et lui met, dans le dos
la petite maligne cherche directement ce petit crochet qui pourrait la délivrer immédiatement si besoin , comme toutes ces paires de jouets ont

rien… impossible de les enlever au cas où…. mais au cas où quoi d’ailleurs?

il la cambre légèrement en avant , lui écarte juste un peu les cuisses, ses fesses sont tendues , offertes

la main s’abat d’un coup sec , elle crie , comme un petit animal blessé
second coup sur l’autre fesse , plus fort , elle sait que son cul est deja rougi
il reste derrière elle , passe ses mains sur son soutien gorge , pince ses tétons au travers de la dentelle , les tire , les tourne

elle sent son souffle

il revient à son cul : un coup , puis deux, alternant chaque fesse , trois, quatre

il caresse chaque globe , déjà douloureux , il tire sur la ficelle de son string , la dentelle vient se perdre dans son minou dont les lèvres s’écartent au passage

cinq, six , elle gémit, se mord la bouche pour ne pas crier

-à genoux

elle s’exécute , bien sur

il s’éloigne , et c’est avec une badine qu’il revient , debout devant elle

il passe l’instrument sur ses seins , et lentement les sort de leur contrainte ,comme ça , juste avec la badine

il la regarde longuement, à genoux devant lui, soumise , les seins tendus, durs

-regarde moi

elle lève les yeux vers lui , le rose aux joues

le bout de la badine vient claquer sur un téton, elle crie , mais ne le quitte pas des yeux
le second coup dessine une strie sur son sein
une larme coule sur la joue de la dame

elle repense à ce mot qu’elle devait dire si elle voulait un arrêt des festivités , elle le crie fort dans sa tête, mais non, elle ne le prononcera pas , pas maintenant

l’autre téton reçoit à son tour la même punition

les coups s’enchaînent , tantôt sur la blancheur de ses seins, tantôt sur leurs pointes

elle gémit, geint , couine

-lève toi

elle obéit encore , avec un peu plus de mal , elle souffre silencieusement

elle souffre et pourtant elle aime ça , dans sa tête c’est un tourbillon : continuer, arrêter , elle en sait rien

elle est débout , il s’agenouille devant elle , passe une main sur son minou … trempée

il glisse son string sur ses bas , ses talons, puis lui enlève

-ouvre la bouche

il glisse le string à l’intérieur , son bâillon … un bâillon humide de plaisir

il l’entraîne vers le lit , la dispose à quatre pattes

il la regarde , le cul rougi et tendu , ses mains menottés dans son dos …esclave

il tend sa main et caresse sa chatte , calmement

le calme de cet homme la rend folle

il caresse ses lèvres , son clitoris, l’entrée de son minou

il cesse et vient contre l’entrée de ses fesses , juste là , d’un doigt il s’enfonce , il entame quelques va et vient , il pénètre , tourne son doigt comme pour tenter d’élargir ce petit cercle qui résiste à peine

un deuxième doigt vient se faufiler , entamant la même danse

elle entend le bruit de la fermeture de son pantalon qui s’ouvre , qu’il enlève

d’une main il écarte ses fesses un peu plus et son gland vient se poser , puis appuie sur son petit trou

elle le sent rentrer en elle , profondément , elle ne peut pas crier, le repousser , et pourquoi le ferait elle? c’est ce qu’elle voulait non ?

elle sent ses couilles claquer au fur et à mesure qu’elle s’ouvre

ses reins sont un brasier , puis vite un incendie

des pas dans le couloir , des voix

il se retire d’elle brutalement , passe sa main sur son visage et enlève le string qui possédait sa bouche

il la tire brutalement à lui , elle est debout maintenant , il l’entraine contre la porte , face contre celle ci

d’une main , il lui soulève une jambe et dans un murmure :

-fais voir comme tu aimes quand je t’encule, ma petite pute

il enfonce sa queue si violemment , qu’elle couine , crie , elle est totalement partie, complétement donnée à lui

des pas dans le couloir encore , un arrêt , devant la porte?

elle gémit , totalement remplie par ce sexe qu’elle désire bien au fond d’elle , excitée par le fait qu’on l’entende se donner aussi fort

il cesse ses vas et vient , se fige en elle , il a jouit? elle pense que non

il se retire , il la retourne vers lui

-je vais te détacher , tu t’allonges sur le lit et tu te caresses

c’est tout??? on passe de cette sodomie dévastatrice à une simple branlette?

il lui enlève les menottes , elle se met sur le lit , les jambes ballantes sur le bord et écarte les cuisses

il amène une chaise face à elle et s’installe , la queue entre les mains

elle passe ses doigts sur son minou, et s’enfonce un doigt , elle mouille tellement que le bruit du clapotis brise le silence de la pièce
elle remonte vers son clitoris , qu’elle pince, lui met des petites tapes , elle le titille

elle redescend vers sa chatte , et entame un va et vient de deux doigts , profondément

-continue , n’arrête pas

il se lève et vient sur le lit , à genoux, au dessus son sexe bien au dessus de son visage , elle voit que ses bourses tressautaient au rythme de ses mains qui le caressent

-lèche tes doigts

elle libère son minou , et monte ses doigts à sa bouche , elle les nettoie du bout de la langue puis les enfoncent dans sa bouche pour finir le nettoyage

il se place face à elle , les genoux de chaque coté de ses épaule , sa queue bien face à sa bouche

-écarte ta bouche

elle glisse deux doigts de chaque main dans sa bouche et l’étire de chaque coté , ainsi sa bouche est totalement offerte , prête à être baisée

il glisse sa queue , et entame ses vas et vient , elle sent sa queue claquer dans sa gorge

à nouveau les larmes coulent sur ses joues , elle se sent parfois étouffer, prise de panique

elle repense à ce mot pour tout arrêter, mais ce serait trop bête d’arrêter maintenant

il sort sa queue , et d’un unique va et vient avec sa main , il décharge tout sur son visage

le sperme gicle sur ses joues, ses yeux , son menton

son gland s’essuie sur ses lèvres , vient sur ses joues , il étale son sperme un peu plus

il met son visage face à elle , retiens sa main qui tente de s’essuyer , il contemple son œuvre

il sourit , elle aussi

et elle se souvient de ce mot pour tout arrêter si ça partait en vrille

elle s’en souvient maintenant , clairement

il franchit ses lèvres dans un soupir :

-encore